Aujourd’hui Pierre vous présente son test de Carto qu’il à réalisé sur PS5.
Gameplay
Ultra simpliste mais loin d’être sans intérêt, Carto vous met dans la peau de la jeune Carto, dotée d’un pouvoir unique : celui de déplacer des portions entières du monde, comme dans un gigantesque puzzle. Et… c’est presque tout.
Ce jeu d’aventure narratif, qui mêle exploration et casse-tête, pourrait se résumer à cette mécanique centrale : assembler et réorganiser le monde qui vous entoure.
À la manière d’un puzzle, vous pourrez déplacer et faire pivoter des morceaux de territoire selon vos envies, ou selon ce que le jeu vous impose. Ces manipulations débloqueront de nouvelles zones, vous donneront accès à des passages jusqu’alors inaccessibles, et même à de nouveaux biomes.

Graphismes
Le jeu semble tout droit sorti d’un livre pour enfants. Et ce n’est pas une critique : les illustrations sont jolies et attrayantes.
Les décors, variés et apaisants, évitent les couleurs vives agressives. Les dessins, qui semblent tous peints à la main à l’aquarelle, renforcent cette ambiance détendue.

Bande son
Tout comme pour les graphismes, je vais rester très bref. Une trentaine de mélodies vous accompagneront tout au long de l’aventure.
Légères et insouciantes, elles restent discrètes, favorisant une ambiance propice à la détente.
Histoire
Ce n’est clairement pas un jeu marqué par une histoire profonde.
Dès le début, votre curiosité vous sépare de votre grand-mère. Votre mission sera de la retrouver en récoltant des indices disséminés à travers le monde.
Chaque île propose sa propre histoire et ses personnages, avec des personnalités parfois très cocasses. Et bien que le scénario ne soit pas des plus marquants, chaque nouvelle île apporte son lot de surprises, ce qui reste l’essentiel.
